Une punition injuste

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il y a 4 ans

Résumé de cette histoire érotique : A la suite d'un malheureux quiproquo, une femme jalouse punis son mari avec un vieux plombier brésilien aux mensurations titanesques. Le mari bâillonné assiste à la scène impuissant.

Je ne le savais pas encore, mais ce mardi était différents des autres jours.

Il était 18h, je rentrais du bureau. J'en avais encore pour 20 minutes d'autobus... Ce n'est pas que je languissais d'arriver à la maison (ma vie était routinière), mais c'était long. Le même cycle se répétait lentement tous les jours : j'arriverai à la maison, ma femme Sonia sera dans la cuisine, télé allumée, en train de me préparer une spécialité Alentejana (ça fait 5 ans que je suis marié avec une Portuguaise). Je lui ferai un câlin, en prenant de ses nouvelles. Je mettrai mes sandales et je regarderai les informations régionale jusqu'à l'heure du repas. Nous mangerons en regardant plus belle la vie. Plus tard, je m'endormirai sur le canapé.

Je ne le savais pas encore mais il y avait un grain de sable dans l'engrenage

En poussant la porte de la maison je fus étonné de ne pas entendre la télé ni de voir ma femme dans la cuisine. Elle sera sans doute allée faire quelques commissions. J'entrais dans la chambre pour m'enlever mes chaussures, et là, surprise, mon épouse m'attendait sur le lit dans une tenue sexy que je ne lui connaissais pas. Je n'avais pas l'habitude de la voir comme ça : elle était magnifique. Elle portait un bustier clair transparent, un string et un porte-jarretelle blanc que sa peau mate mettait en valeur. Sonia venait de passer la trentaine, mais son corps pouvait faire pâlir de jalousie n'importe quelle étudiante.

« Entre, je t'attendais » me dit-elle d'un ton coquin. Je ne la reconnaissais pas. Elle, catholique pratiquante, si prude, repoussait systématiquement tous mes jeux érotiques. Nous n'avions le droit de baiser que dans les positions recommandées par l'église. De peur qu'elle ne change d'avis, je me hâtais de me déshabiller. « Ne va pas trop vite » me dit-elle en m'empêchant d'enlever le caleçon. Elle m'entraîna dans le séjour puis me fit asseoir sur une chaise de la salle à manger. Mon cerveau était en ébullition: ma femme osait enfin passer à l'acte. Elle m'amarra solidement chaque main aux pieds de la chaise avec de la corde de cuisine. J'avais un peu mal au poignet mais je n'osais pas me plaindre de peur de faire baisser sa température. D'un mouvement rapide, elle me bâillonnât fermement avec un torchon. C'était inattendu et un peu désagréable : je ne pouvais plus respirer par la bouche. De toute façon je ne pouvais plus parler.

Je ne le savais pas encore mais tout allait dérailler.

« Tu sais ce que c'est ça » me dit-elle en agitant un boite de préservatifs que ma nièces (trop timide pour aller à la pharmacie) m'avait commandé. « J'ai trouvé ça dans ta veste ce matin. Filho da puta! Comment tu as pu me faire ça » Je la retrouvais ma petite femme catholique, de s a n g latin et pathologiquement jalouse. C'est un petit quiproquo qui l'avait mise dans cet état-là, mais un coup de fil à ma nièce allait dissiper tout ce malentendu pensais-je en m'amusant. Je lui souriais pour lui faire comprendre la méprise.

« Cabrão! Ça te fait rire? Je t'avais pourtant dit que je ne tolèrerai aucune infidélité. Le mariage c'est un lien sacré et toi tu viens de le briser! »

On sonna. « C'est le plombier » Dit-elle toujours en colère. Sur le moment je ne compris pas. Elle vêtu rapidement sa robe de chambre de soie et alla ouvrir. Je l'entendais parler en portugais avec quelqu'un : « Je suis désole de vous faire venir en urgence » « Je vois, encore un problème de tuyauterie encrassée » dit une voix grave en rigolant. « Non, j'ai besoin de vous, pour donner une leçon à mon maris ... Il me trompe avec une autre, et je compte sur vous pour lui montrer ce qu'il risque de perdre définitivement»

Une anecdote du mois passé me revint : un plombier brésilien était venu régler le chauffage pendant que je travaillais. Le soir Sonia s'était plein de ses avances grossières et insistantes durant son intervention, « En plus il était moche et gros » avait-elle ajouté « Ce serait le pire des châtiments »

Le plombier, franchit rapidement le hall je l'aperçus depuis le séjour. Je découvrais un homme noir, ridé, pas très grand (1m70 tout au plus) et grassouillet qui avait largement atteint l'âge de la retraite. Ses cheveux ondulés étaient encore noir malgré l'âge. Sa moustache bien fournie et sa salopette bleue lui donnait l'air d'un super Mario obèse. Sur sa bretelle, on pouvait lire son nom sur un badge: Léandro Gonzales.

Moi attaché, en caleçon, la scène quoi qu'invraisemblable ne paraissait pas le surprendre. Je balbutiais comme un idiot, mais le bâillon ne me laissait pas articuler.

«Olá! C'est un beau morceau de femme que tu as là, moço. Dommage que tu ne t'en occupes pas plus» Me dit-il en se collant à ma femme

Sonia était complètement passive, elle sursauta quand la vielle main rugueuse passa sous sa robe et caressa sa poitrine. Je reprouvais ce geste en grommelant.

« Tais-toi caralho! J'avais bien vu que ta femme n'était pas satisfaite. Tu réfléchiras mieux la prochaine fois avant d'y mettre les cornes »

Léandro avait complétement dénudé le torse de ma femme, il continuait ses assauts sur les seins fantastiques de Sonia. Il les serrait et en tirait sur les tétons. Le contraste entre la peau fine et lisse de la poitrine de mon épouse et les grosses mains ridées du vieux plombier m'angoissait. Il se pencha et aspira le mamelon durci par ses caresses tandis que ses gros doigts se faufilaient dans l'entre jambe de ma femme.

Ma femme, qui jusqu'à présent n'avait rien dit, laissa échapper un soupir prolongé.

« Elle est encore plus humide que le fond de l'Amazonie! »

C'était la première fois, depuis notre mariage, que les doigts d'un autre homme que moi se glissaient dans sa fente. Elle se tordait en arrière en appréciant les jeux du gros mâle brésilien.

« J'ai envie de goûter à cette pêche juteuse » Dit-il en salivant.

Léandro enleva ses bottes puis déboucla sa salopette et enleva sa chemise. La peau de son ventre tendu était couverte de poils frisés. J'étais choqué par le renflement au niveau de son vieux caleçon à la propreté douteuse. Il finit d'enlever la robe de chambre de ma femme. A travers son string on pouvait voir son minou complètement épilé ce qui n'était pas naturel chez elle. La salope, elle avait vraiment tout prémédité pour me rendre furieux : cela faisait des années qu'elle me refusait ce plaisir, mais elle l'avait accordé à ce vieux brésilien qui aurait pu être son grand père.

Mon cœur battait la chamade. Je ne supportais plus ça. Jusque ou irait-elle? En me voyant froncer les sourcils Sonia me fixa de son regard noir et profond; un sourire victorieux se dessinait sur ses lèvres.

Léandro s'agenouilla entre ses jambes douces, fit coulisser son string, puis serrant sa taille entre ses grosses mains, il baissa sa bouche contre la chatte soyeuse tandis que mon épouse ferma les yeux en haletant.

Après quelques minutes Léandro s'exclama: « Passons au chose sérieuses »

Il fit tomber son caleçon et découvrit son membre flasque. C'était une grosse bite bronzé coiffée d'une épaisse toison grisonnante. La base de son membre était énorme, plus grosse que mon poignée. Sa queue encore mole reposait sur une paire de couilles monstrueuses. Ses bourses étaient toutes aussi tendues que la peau de son ventre.

Ma femme poussa un petit cri d'admiration tandis que je levais mes sourcils. Il me regardait fièrement. Il attrapa la base de son sexe entre son pousse et son index, ce qui fit apparaître quelques veines le long de sa hampe, puis me dit en agitant sa queue: « A ce que je comprends, elle ne doit pas en voir tous les jours des gourdins comme ça, il va falloir qu'elle me suce bien pour que je la pénètre en douceur. »

Ma femme, d'une voix vicieuse, proposa « Laissons le participer... je suis sûr qu'il acceptera de vous lubrifier. Après tout, il a tout à perdre si vous m'abîmez» Quelle salope, je n'en croyais pas mes oreilles.

Il se tourna vers moi, et commenta « Tu as bien de la chance d'avoir une femme comme ça, j'espère que c'est la dernière fois que tu la trompes, paneleiro!» En même temps, il me matraquait plusieurs fois le visage avec son engin ce qui eut pour effet de le faire grossir. Il avait décalotté son gland. La sueur de sa bite s'était étalée sur mon visage et je portais désormais sur moi l'odeur de ce mâle dominant.

Ma femme arracha mon bâillon. Je criais pour m'innocenter. Le vieux brésilien en profita pour enfoncer son gland entre mes lèvres. Je m'étouffais et ne pouvais pas protester. Ma bouche était distendue par cette intrusion agressive. J'essayais de reculer ma tête, mais sa main me maintenait fermentent en position. Tout au plus, il me laissait assez de jeu pour faire des vas et viens sur sa tige.

Ma femme avança ses mains et lui soupesa les couilles. Les caresses de Sonia et les mouvements de ma bouche firent effet et le Priape durcit rapidement. Sa bite qui avait un peu la forme d'une quille de bowling et était l'arme de cet injuste châtiment.

Les doigts de l'autre main du vieux brésilien pénétraient la chatte dégoulinante de ma femmes. « Lubrifie-moi bien maricas. J'ai peur de la démonter »

Je sentais le liquide perler sur le bout de son gland. Ses coups de butor au fond de ma bouche me faisaient saliver malgré moi. Chaque allé retour, j'enduisais complètement sa queue de ma bave gluante.

«Agora copulamos!» Dit-il en retirant son épais engin de ma bouche, mes mâchoires étaient engourdies. J'étais abasourdis de voir un membre si gros et si vigoureux sur un homme d'un âge avancé. Je n'eus pas le temps de clamer mon innocence que Sonia me bâillonna de nouveau.

Il coucha mon épouse sur le canapé et se mis au-dessus d'elle de telle façon que je pus voir là ses lèvres qui palpitaient à l'idée de recevoir une aussi gros invité.

Sonia agrippa son sexe. Elle attira l'homme vers elle. Sa main tremblait en visant son vagin.

Avec ma salive abondante, la vieille queue envahie lentement son tunnel d'amour. Ils gémirent tous les deux. C'était la première fois que ma femme était ainsi remplie. Je pouvais presque sentir ce qu'il lui faisait. La bite n'était pas encore entrée complètement. Sonia agrippa les grosses fesses du plombier à deux mains et l'enfonça complètement à l'intérieur.

Ses énormes testicules de taureau commencèrent à tapoter régulièrement contre le scrotum de Sonia. Ma douce femme, jusqu' à ce jour innocente, commença à murmurer des obscénités que je n'avais jamais entendues auparavant dans sa bouche.

Leandro se retira complètement et écarta les cuisse de Sonia pour me montrer le résultat. Les lèvres de sa chatte étaient v i o l ettes et distendues à cause des vas et viens de l'engin massif. « Regarde cette salope, comme elle prend plaisir. Elle était bien serrée au départ ... tu dois avoir une petite bite pour que elle soit si étroite » « Un pénis rachitique » Ajouta ma femme pour me provoquer. « Mais! Tu bandes! » S'écriât son étalon obèse en voyant la petite bosse qui s'était formée sur mon caleçon. Elle laissa son amant et se leva pour me retirer mon sous-vêtement.

Le plombier fixa mon entre jambe. « J'avais bien raison, c'est bien un problème de tuyauterie » Dit-il en rigolant « Sa quéquette n'est pas plus grosse que mon pouce. Tu ne la mérites pas, tu es un salaud de l'avoir blessée. Je me demande qu'elle maîtresse veut de toi avec un si petit calibre!»

« Mais je ne l'ai jamais trompé » pensé-je une énième fois

« Puisque tu as l'air d'apprécier, viens voir de plus prêt » Il fit basculer ma chaise sur le sol. Je gisais couché sur le dos. Ma femme se positionna debout au-dessus de mon visage, puis se pencha pour agripper les pieds avants de la chaise. Le vieillard en rut se mit derrière elle; lui aussi était au-dessus de moi.

Son vieux gland v i o l acé et pointu s'appuyait contre l'anus délicat de ma femme. Il se suça un doigt, puis le lui enfonça dans le cul, comme pour s'ouvrir un chemin. Elle qui m'avait toujours refusé ce plaisir car sa « porta traseira é sagrada » ne semblait pas trop gênée par ce sacrilège.

Les 30 centimètres de viande noire f o r ç a ient lentement un passage dans la paroi rectale. Il avait y encore une petite moitié dehors, mais subitement la queue ressorti jusqu'au gland (qui semblait comprimé). De nouveau le membre s'enfonça provoquant un jappement de Sonia. La danse continua pendant plusieurs minutes en s'intensifiant.

Ma femme criait de plaisir. C'était un orgasme plus v i o l ent que tout ce que je ne lui avais jamais produit. Son corps entier tremblait. Le gros bonhomme ne ralentissait pas. Le corps de ma femme brillait de sueur, je ne savais plus que penser. Elle était magnifique avec ses gros seins qui s'agitaient au dessus de moi.

Le vieux plombier avait une endurance impressionnante.

« Tu voulais des préservatifs pour ta salope » Me dit Sonia entre deux spasmes « Tu vois, les vrais hommes n'en mettent pas »

Puis elle inclina sa tête ver son amant obèse « Je veux te sentir au fond de ma chatte ... donne-moi tout ce que tu as »

Le membre non protégé sorti du cul de ma femme et s'enfonça v i o l emment dans son vagin. Elle cria de plaisir.

Le gros étalon basané serra ses fesses et envoya puissamment sa semence au fond du ventre de mon épouse. Chaque giclée lui donnait un autre orgasme. Cela dura une grosse minute. Des gouttes de cette crème séminale commençaient à tomber sur mon visage.

Leandro se retira. Sa grosse bite flasque pendait le long de sa jambe. Il appuya sur son gland pour faire sortir une dernière giclé qui me souilla tout le visage« Alors, menino, tu t'es régalé? Promet moi de ne plus la tromper. » Docilement, je faisais oui avec la tête. Puis il ajouta en riant « De toute façon, avec ta femme non plus t'es pas prêt de baiser, il va falloir attendre longtemps avant qu'elle puise te sentir à nouveau » Le salaud, il avait raison, les deux orifices de Sonia étaient béants. Mon pénis allait flotter dans ce vagin élargis.

Il finissait de nettoyer sa queue mole et gluante avec mon caleçon, puis il ajouta « Ne t'inquiète pas, si tu la lèches bien, tout reviendra en place plus vite ... »

A ces mots, ma femme s'accroupit sur mon visage. Sa croupe ondulait pour se chatouiller sur ma figure. Elle me retira le bâillon et plaqua sa chatte sur ma bouche. Mon nez s'enfonçait littéralement dans son trou du cul fraîchement pénétré. J'avais du mal à respirer mais j'adorais cette odeur âcre. Ma respiration provoquait des spasmes sur son anus. De sa chatte coulait abondamment la semence épaisse du plombier. Avec ma langue je commençais à pénétrer son vagin.

Le liquide poisseux collait aux parois de ma bouche. Étonnamment, le goût ne me révoltait pas. En fait, j'aimais le mélange salé de leur jus et je commençais à avaler. Je déglutissais aussi vite que je le pouvais. J'avais une érection énorme mais mon pénis de 15cm devait paraître mignon à côté de l'horrible monstre qui venait de souiller ma femme. Je ne pensais ni aux préservatifs, ni au plombier, ni à l'injustice que je venais de subir. Sonia caressa mon sexe d'une main, mais elle n'eut pas le temps d'aller plus loin, quelque jets fluides sortirent et s'écrasèrent sur mon ventre.

« Hahaha. É isso aí? C'est tout? » Dit le plombier qui s'était rhabillé. « Si j'avais été plus jeune, je serai reparti pour un deuxième tour, mais je dois y aller ... Je vous laisse la facture sur la table ... Pour le déplacement ... » conclu t'il en s'éclipsant.

Robertomaloch

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